C’est ce qu’on appelle une révélation tardive. En 2017, Steven Wilson a 50 ans et touche le grand public pour la première fois avec To the bone. Un disque populaire et ambitieux, qui le classe dans la lignée des Peter Gabriel ou Kate Bush.
Aujourd’hui, le Britannique récidive avec le brillant The Future bites, sorte de dystopie inspirée par le consumérisme d’une société menée par les algorithmes des Gafa. Il en parle avec distance et un humour pince-sans-rire très british.
Vous enchaînez...