C'est après une réunion de crise organisée à l'Elysée autour d'Emmanuel Macron que les présidents des groupes parlementaires LREM, MoDem et Agir ont annoncé "la nouvelle écriture complète" de l'article controversé, qui prévoit de pénaliser la diffusion malveillante de l'image des forces de l'ordre, et qui cristallise les tensions.
"Nous savons que des doutes persistent encore" et "nous devons éteindre ces doutes" a expliqué Christophe Castaner, le patron des députés LREM, lors d'une conférence de presse.