« Je devais apporter des précisions. » C’est l’axe de défense du prévenu qui s’est présenté ce jeudi 2 mai, devant le tribunal correctionnel de Brive, pour répondre de harcèlement sur son ex-conjointe. « ‘‘Harcèlement’’, le mot est un peu fort pour des SMS, auquel on n’est pas obligé de répondre », regrette-t-il. Sauf que ce quadragénaire, en état de récidive, en avait envoyé pas moins de 1.015 entre la fin du mois de décembre et le début du mois de février.
Des échanges, alors qu’il avait...