Le débat sur notre politique économique est rempli d’idées idiotes et profondément ancrées. Cela convient aux gouvernements successifs, aux médias et aux électeurs, mais pas forcément à nos créanciers. Seule une contrainte extérieure forte nous obligera à revenir au réel.
Totalement occulté par les candidats de la dernière campagne présidentielle, le déséquilibre abyssal des dépenses publiques françaises revient au premier plan. Nous n’avons vraisemblablement pas fini d’en entendre parler.