De grosses difficultés attendent les tenants du pouvoir, décidés à engager une politique de rupture. Dans cette foulée, vouloir dissoudre le HCCT et le CESE, largement décriés par l’opinion, ne sera guère une mince affaire au regard de la faible représentation parlementaire de Pastef et de ses alliés. Il faudra, en effet, une loi organique, soit les 3/5 des députés, pour y arriver. Or Bassirou Diomaye Faye et ses alliés, sont loin du compte.
La rupture annoncée par les tenants du pouvoir...