« Une olympiade femelle serait impratique, inintéressante, inesthétique et incorrecte. » « Femelle » donc… Ce sont les mots, rédigés en français, avec l’aval de ce bon vieux Pierre de Coubertin, le rénovateur des Jeux Olympiques en 1912 sur le compte-rendu officiel de l’édition de Stockholm. Des mots d’une misogynie terrible qui ne sont finalement pas si indissociables de l’actualité moderne. Malheureusement. Dans ces prochaines lignes, vous allez découvrir que certains sports étaient simplement...