Nouveau rebondissement en Corée du Sud. Ce mercredi 11 décembre, la police a affirmé être entravée dans sa perquisition des bureaux du président Yoon Suk-yeol. Depuis une semaine, le président est mis en cause après sa tentative d’imposer la loi martiale.
La police avait déclaré en matinée qu’une "équipe spéciale d’enquête" avait "mené une perquisition au bureau présidentiel, à l’Agence de la police nationale, à l’Agence de la police métropolitaine de Séoul et au Service de sécurité de l’Assemblée nationale".