Il a soutenu Emmanuel Macron sans ambiguïté quand il a été élu président de la République. Plus dure sera la chute. Aujourd’hui, Alain Minc ne décolère pas contre la dissolution, qui installe le Rassemblement national comme premier parti de France. Et qui jette une ombre sur toute l’aventure macronienne : "Comme dans les drames shakespeariens, la fin efface le reste."
L'Express : "Ce ne sera la faute de personne le soir du deuxième tour. Ce sera la responsabilité des Français", a dit Emmanuel Macron avant même le premier tour.