La Corrèze n’échappe pas à la recomposition politique express déclenchée par la décision d’Emmanuel Macron, le 9 juin 2024, de dissoudre l’Assemblée nationale.
Dans le département, elle fait une victime : la majorité présidentielle (MoDem et Renaissance) a annoncé qu’elle n’aurait pas de représentant pour le scrutin du 30 juin et 7 juillet. Bousculant tout en 2017, déjà mal en point après les législatives de 2022, le macronisme en Corrèze a tout simplement disparu.
Le bloc d'extrême-droiteUn...