On a d’abord suivi Kids Return sur la foi d’un faisceau d’indices laissant entrevoir chez ces deux jeunes gens une grande idée de la pop : un nom de groupe tiré d’un beau film de Takeshi Kitano, une passion débordante et un premier album, Forever Melodies, qui semblait dire que le Laurel Canyon de Crosby, Still, Nash and Young et le pouvoir d’évocation de la musique d’Air pouvaient coexister dans un seul et même élan créatif.
“On s’efforce de faire une musique intemporelle, qui pourra intriguer...