En ce jour de fête des pères, redécouvrons la romancière Raymonde Vincent, dont Claudel appréciait la délicatesse du style, avec la réédition de Elisabeth, suivi de Le Père, une nouvelle inédite.
D’origine berrichonne, Raymonde Vincent (1908-1985) obtient en 1937 le Prix Femina pour son roman Campagne, vendu à plus de 100 000 exemplaires, devançant des romanciers talentueux tels que Henri Bosco ou Robert Brasillach, le très influent journaliste littéraire du quotidien L’Action française.