Les années passent… et la soirée d’ouverture de la Quinzaine ressemble de plus en plus à la fête de Toni Erdmann de Maren Ade, soit à un congrès de cadres sups fêtards et anonymes, ou a un cocktail dînatoire du CNC peuplé de figurant·es généré·es par IA, se remuant sur une playlist de mariage (malgré l’intervention salutaire de Catherine Giraud, attachée de presse-DJ prenant d’assaut les platines, circa à 00 h 30, pour remplacer manu militari Dalida par un gabber de crackhead à 280 BPM), à ça d’entonner un bon vieux Connemara...