Tout est parti d’une envie de faire la fête. Une belle fête, qui mobiliserait tout un village (et au-delà) et qui serait pleine de couleurs, de musique et de fantaisie.Une sorte de « création partagée pour faire revivre les fêtes populaires d’antan », résume la metteuse en scène Élodie Chaumaret. « On avait l’intuition que le carnaval correspondait à ce souhait, parce qu’il porte en lui la démesure et une sorte de subversion aussi. »
« À Chamboulive, reprend-elle, les gens se souviennent de la fête votive au début de l’été...