L'ancienne garde des Sceaux a pris la tête, le 8 février, d’un ministère de l’Éducation nationale dans la tourmente après les « couacs » en série d’Amélie Oudéa-Castéra, qui avait réussi, en moins d’un mois, à se mettre la communauté éducative à dos.
Quand on demande à Nicole Belloubet la raison pour laquelle elle a accepté ce challenge dans un contexte aussi tendu, la réponse fuse : « Parce que je suis professeure, c’est mon métier. Je sais à la fois la richesse de ce que l’éducation peut apporter à tous les jeunes et...