7. Strange Mercy (2011)
Composé en autarcie à Seattle, l’ambitieux troisième album de St. Vincent assume ses envies d‘expérimentation. Les guitares se font plus rugueuses, les élans d’apesanteur volent encore plus haut qu’avant et les paroles reflètent cet état d’esprit (le fameux concept d’empowerment), au risque de perdre un peu de sensibilité au passage et de dérouter. “J’ai passé de bons moments avec des mecs mauvais/J’ai dit des mensonges entiers avec un demi-sourire”, susurre l’artiste...