Fermés durant le premier confinement, les hôtels ont pu rester ouverts pendant le second. Et malgré un été qui a quelque peu sauvé la saison, les hôteliers font grise mine et craignent pour leur avenir. « C’est le brouillard », reconnaît Benoît Micallef, cogérant des hôtels Artemis à Cohade et Les Glycines à Vieille-Brioude. Après des travaux dans leurs établissements familiaux, « à Artemis, nous avons annoncé la réouverture au même moment que le premier confinement ». Un coup de massue pour lui...