Olivier Chambon, vice-président de Thiers Dore et Montagne, en charge notamment des déchets ménagers, est catégorique. « Un incinérateur, c’est plusieurs millions d’euros. Nous ne sommes pas capables financièrement de faire fonctionner une telle structure ».
Par ailleurs, le vice-président prévient, « pour que cela fonctionne, il faut avoir un tonnage minimum. À Clermont par exemple, on est bon, mais il ne faudrait pas moins de tonnes ! Un incinérateur, c’est sur un département. Cela demande beaucoup d’études, de technologies.