« Toute l’économie pour notre secteur est annulée pour décembre, un mois capital pour notre chiffre d’affaires. Le couvre-feu à 21 heures va également impacter la restauration à emporter. J’ai une pensée pour nos fournisseurs et toutes nos filières qui n’ont pas été évoqués par le président de la République », regrette à chaud le président de l’Union des métiers des industries hôtelières (Umih) du Cantal, Thierry Perbet, qui exposera les inquiétudes et toute la détresse d’un secteur d’activité...